Start-up : faut-il toujours accepter une clause bad leaver ?

Un groupe diversifié de professionnels engagés dans une séance de brainstorming autour d'une table en bois avec la technologie présente.
Dans l’écosystème bouillonnant des start-up, la relation entre fondateurs et investisseurs s’articule autour de pactes d’actionnaires minutieusement négociés. Parmi les dispositions les plus controversées figure la redoutable clause de sortie forcée, qui peut contraindre un dirigeant à céder ses parts dans des conditions désavantageuses en cas de départ. Cette épée de Damoclès, qui pèse particulièrement sur les entrepreneurs, soulève de nombreuses questions tant sur le plan juridique qu’éthique, alors même que la pratique tend à la normaliser dans les levées de fonds. Face à cette réalité, de plus en plus de fondateurs s’interrogent sur la pertinence d’accepter systématiquement ces dispositions qui peuvent significativement impacter leur avenir.

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